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Faune locale
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Faune locale
La grande diversité de milieux rencontrés en Loire-Atlantique doit permettre d’attendre une grande diversité d’espèces de poissons représentant des peuplements piscicoles variés. D’une manière générale, on distingue les peuplements de cours d’eau calme, les peuplements d’eau vive, les peuplements de marais doux.
La majorité des cours d’eau de Loire-Atlantique accueille des peuplements piscicoles d’eau calme ou intermédiaire. En tête de ces bassins, l’ont retrouve des peuplements qualifiés d’intermédiaire ou d’eau vive.
Le peuplement piscicole d’eau vive
Ce type de peuplement est associé à des milieux d’eau courante, relativement fraiches et oxygénées. Au regard du relief peu marqué en le Loire-Atlantique et des étiages plutôt sévères des cours d’eau, il ne représente qu’une part minoritaire du linéaire de cours d’eau dans le département. Les espèces typiques de ce peuplement sont les suivantes.
Goujon
Vandoise
Chevaine
Hotu
Barbeau fluviatile
Spirlin
Truite fario
Chabot
Vairon
Loche franche
Lamproie de Planer
Les peuplements piscicoles d’eau calme
Le peuplement d’eau calme est le plus représenté en Loire-Atlantique étant donné qu’il reste inféodé aux cours d’eau présentant peu de courant et des eaux relativement chaudes et parfois peu oxygénées. Par ailleurs, l’absence de relief marqué et la position géographique du département très en aval sur le bassin versant Loire ne peut que confirmer cette nette prédominance. Les espèces typiques de ce peuplement sont représentées dans le tableau ci-dessous.
Tanche
Gardon
Perche
Brochet
Ablette
Carpe commune
Grémille
Rotengle
Perche soleil
Sandre
Brème bordelière
Brème commune
Poisson-chat
Ide mélanote
Bouvière
Peuplements piscicoles attendus en marais doux
A ces milieux aquatiques très particuliers s’est adapté un peuplement piscicole spécifique. Malgré une nette prédominance des espèces d’eau calme, d’autres espèces spécifiquement adaptées à ces milieux de transition viennent compléter le peuplement : il s’agit du carassin, du gambusie, du pseudo-rasbora, de l’épinoche, de l’épinochette qui exploitent ces milieux à tous stades de leur cycle biologique.
D’autres espèces ne vont fréquenter les marais que de façon temporaire, sur une période précise de leur cycle biologique (reproduction et/ou croissance) avant de regagner les cours d’eau principaux. (brochet, rotengle, tanche, carpe…)
La qualité du peuplement piscicole inféodé aux marais doux est conditionnée, en plus d’une bonne qualité de l’eau, à un entretien du milieu assurant des habitats diversifiés : prairies inondables, canaux avec berges en pente douce, fossés primaires, secondaires et tertiaires, zone de pleine eau avec végétation aquatique… En parallèle, il convient donc d’assurer une bonne circulation latérale et longitudinale aux espèces afin de garantir les échanges indispensables entre les différents milieux et habitats exploités par celles-ci.
Dans un milieu correctement entretenu, la diversité spécifique peut avoisiner une quinzaine d’espèces (voir tableau ci-dessous). Pour la plupart, il s’agit d’espèces communes et inféodées au peuplement d’eau calme, dont une partie assure l’ensemble de son cycle biologique en marais.
Espèces susceptibles d’être rencontrées en marais
Autres espèces
Les espèces migratrices sont également susceptibles de fréquenter les cours d’eau de Loire-Atlantique. En dehors de la problématique du Saumon atlantique et de la Truite de mer qui ne font qu’emprunter l’estuaire pour remonter en amont sur le bassin de la Loire, les autres espèces (lamproies, aloses, mulets et anguilles) exploitent les cours d’eau de Loire-Atlantique pour leur phase en eaux douce. Leur présence restera cependant limitée à l’axe Loire et à ses principaux affluents directs (Erdre, Sèvre nantaise, Acheneau, Brivet).
Reste le cas particulier de l’anguille qui demeure une espèce emblématique de la Loire-Atlantique. Du fait de sa position géographique très en aval sur le bassin versant de la Loire, de sa proximité à la façade atlantique et des nombreuses zones humides présentes sur son territoire, ce département reste dans une situation relativement préservée vis-à-vis de cette espèce qui reste potentiellement présente sur tous les cours d’eau.
Enfin, il faut également signaler l’implantation et le développement d’espèces nouvelles majoritairement inféodées aux grands milieux d’eau calme : le Silure, le black-bass…
La majorité des cours d’eau de Loire-Atlantique accueille des peuplements piscicoles d’eau calme ou intermédiaire. En tête de ces bassins, l’ont retrouve des peuplements qualifiés d’intermédiaire ou d’eau vive.
Le peuplement piscicole d’eau vive
Ce type de peuplement est associé à des milieux d’eau courante, relativement fraiches et oxygénées. Au regard du relief peu marqué en le Loire-Atlantique et des étiages plutôt sévères des cours d’eau, il ne représente qu’une part minoritaire du linéaire de cours d’eau dans le département. Les espèces typiques de ce peuplement sont les suivantes.
Goujon
Vandoise
Chevaine
Hotu
Barbeau fluviatile
Spirlin
Truite fario
Chabot
Vairon
Loche franche
Lamproie de Planer
Les peuplements piscicoles d’eau calme
Le peuplement d’eau calme est le plus représenté en Loire-Atlantique étant donné qu’il reste inféodé aux cours d’eau présentant peu de courant et des eaux relativement chaudes et parfois peu oxygénées. Par ailleurs, l’absence de relief marqué et la position géographique du département très en aval sur le bassin versant Loire ne peut que confirmer cette nette prédominance. Les espèces typiques de ce peuplement sont représentées dans le tableau ci-dessous.
Tanche
Gardon
Perche
Brochet
Ablette
Carpe commune
Grémille
Rotengle
Perche soleil
Sandre
Brème bordelière
Brème commune
Poisson-chat
Ide mélanote
Bouvière
Peuplements piscicoles attendus en marais doux
A ces milieux aquatiques très particuliers s’est adapté un peuplement piscicole spécifique. Malgré une nette prédominance des espèces d’eau calme, d’autres espèces spécifiquement adaptées à ces milieux de transition viennent compléter le peuplement : il s’agit du carassin, du gambusie, du pseudo-rasbora, de l’épinoche, de l’épinochette qui exploitent ces milieux à tous stades de leur cycle biologique.
D’autres espèces ne vont fréquenter les marais que de façon temporaire, sur une période précise de leur cycle biologique (reproduction et/ou croissance) avant de regagner les cours d’eau principaux. (brochet, rotengle, tanche, carpe…)
La qualité du peuplement piscicole inféodé aux marais doux est conditionnée, en plus d’une bonne qualité de l’eau, à un entretien du milieu assurant des habitats diversifiés : prairies inondables, canaux avec berges en pente douce, fossés primaires, secondaires et tertiaires, zone de pleine eau avec végétation aquatique… En parallèle, il convient donc d’assurer une bonne circulation latérale et longitudinale aux espèces afin de garantir les échanges indispensables entre les différents milieux et habitats exploités par celles-ci.
Dans un milieu correctement entretenu, la diversité spécifique peut avoisiner une quinzaine d’espèces (voir tableau ci-dessous). Pour la plupart, il s’agit d’espèces communes et inféodées au peuplement d’eau calme, dont une partie assure l’ensemble de son cycle biologique en marais.
Espèces susceptibles d’être rencontrées en marais
Espèce | Reproduction en marais |
Carpe | Oui |
Carassin | Oui |
Rotengle | Oui |
Gardon | Oui |
Epinochette | Oui |
Epinoche | Oui |
Loche franche | Non |
Gambusie | Oui |
Brème commune | Oui |
Chevaine | Non |
Able de Hekel | Oui |
Ablette | Non |
Bouvière | Oui |
Tanche | Oui |
Poisson-chat | Oui |
Brochet | Oui |
Anguille | Non |
Black-bass | Non |
Flet | Non |
Pseudorasbora Parva | Oui |
Perche | Oui |
Perche soleil | Oui |
Sandre | Non |
Autres espèces
Les espèces migratrices sont également susceptibles de fréquenter les cours d’eau de Loire-Atlantique. En dehors de la problématique du Saumon atlantique et de la Truite de mer qui ne font qu’emprunter l’estuaire pour remonter en amont sur le bassin de la Loire, les autres espèces (lamproies, aloses, mulets et anguilles) exploitent les cours d’eau de Loire-Atlantique pour leur phase en eaux douce. Leur présence restera cependant limitée à l’axe Loire et à ses principaux affluents directs (Erdre, Sèvre nantaise, Acheneau, Brivet).
Reste le cas particulier de l’anguille qui demeure une espèce emblématique de la Loire-Atlantique. Du fait de sa position géographique très en aval sur le bassin versant de la Loire, de sa proximité à la façade atlantique et des nombreuses zones humides présentes sur son territoire, ce département reste dans une situation relativement préservée vis-à-vis de cette espèce qui reste potentiellement présente sur tous les cours d’eau.
Enfin, il faut également signaler l’implantation et le développement d’espèces nouvelles majoritairement inféodées aux grands milieux d’eau calme : le Silure, le black-bass…
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